Notre diplôme de Master conduira à la création d’un pool
d’experts en bioéthique qui pourront assurer la
formation au niveau institutionnel, aux personnels des
comités éthique de recherche en santé, de réviser les
protocoles de recherche, réaliser des recherches et,
enfin, aider à peaufiner la politique de recherche
biomédicale et éthique.
Parmi les impacts escomptés du programme de formation,
il s’agit d’accroître la contribution des chercheurs des
pays en développement au discours intégral en
bioéthique. Ceci est présentement faible et n’a montré
aucune progression significative durant cette dernière
décennie, bien qu’elle ne soit pas inaccoutumée à la
bioéthique. Les programmes pourront donner aux experts
régionaux l'occasion de reprendre la supervision
participative, la recherche et le suivi des étudiants
qui paraissent possibles pour mener à une augmentation
de la contribution de l’Afrique de l’Ouest à la
littérature en bioéthique. Le discours global de
bioéthique bénéficiera des contributions des
bioéthiciens des pays en développement, surtout des
femmes, des musulmans et des animistes.
